Le succès du Blue Monster de Hugh McLeod, étendard du « social marketing » me fait réflechir au sens donné à ce que l’on fait chaque jour au delà de l’approche marketing d’une boite. Quand on a décidé de créer allgoob avec Thomas, on a eu à coeur de construire quelque chose, pas seulement une start-up qui produit des moteurs de recherche intelligents…

Nous avons souhaité proposer une nouvelle approche, susciter une nouvelle manière d’aborder la recherche (d’ emploi par exemple 😉 ), et créer une véritable alternative pour les annonceurs en mal d’audience qualifiée.

Blue Monster

Cette notion d’évolution, de changement d’habitudes est ancrée dans notre volonté de faire. Cette dimension est plus une dimension « sociale » que produit. Avec nos partenaires, nous parlons de la technologie, certes, mais au final l’applicatif innovant fait son boulot…
Nous insistons plutôt sur notre valeur ajoutée, grandement conditionnée par ce que nous sommes et ce que nous faisons. En ce sens, je crois que nous avons une approche marketing « blue monster ». Nous sommes transparents, honnêtes et focalisés sur le niveau de service. Nous voulons dupliquer notre technologie sur de nouveaux marchés en continuant à rendre un véritable service aux annonceurs, et nous assumons notre modèle économique.

Le fait de faire du business avec une certaine éthique et une volonté farouche de changer les choses, voilà notre marque de fabrique. Cet état de fait nous apporte la recommandation de nos clients ou partenaires, et je les en remercie.

Si l’on analyse cela, inconsciemment nous faisons du « recommandation marketing ». Je suis donc persuadé que le fait de parler de soi, de ce que sont les valeurs de notre entreprise est aussi important que le positionnement de nos produits ou services. Bien entendu, cela implique d’être transparent, et de consacrer toute son énergie à associer valeur ajoutée et innovation.